Duke Nukem 3D, le renouveau du Doom-Like

Lorsque Doom débarque sur nos PC en 1993, c’est un raz de marée mondial. Le FPS d’ID software est un phénomène de société qui fait pas mal d’envieux. De nombreux clones débarquent dans son sillage, bien décidés à obtenir leur part du gâteaux. Heretic, Marathon, Rise Of The Triad, Dark Forces… Ce sont les Doom-Like! Même ID Software décide de battre le fer tant qu'il est chaud en sortant Doom 2 un an à peine après le premier épisode. Le jeu est bon, mais n’est guère plus qu’une extensions de luxe (même moteur 3D, quelques armes en plus, de nouveaux monstres…). 

Il faudra attendre 1996 et le cultissime Duke Nukem 3D pour que le genre se renouvelle un tant soit peu. Duke 3D, c’est Doom en mode “full déconnade” sur fond de SF bien Z. Le scénario annonce la couleur : Dans un futur proche, des extra-terrestres débarquent sur terre, sèment le chaos et kidnappent les femmes (WTF?). Seul un héros 100% américain peut botter le cul des envahisseurs : Duke Nukem!

Je compose ma première OST de jeu vidéo

La musique, c'est ma passion depuis tout petit. J'aurais pu apprendre le solfège, la théorie et tout le tralala, mais j'ai préféré me former sur le tas en massacrant des morceaux de Mayhem et Darkthrone sur une copie de Stratocaster au micro involontairement amovible. Après une carrière aussi confidentielle que peu concluante sur la scène black métal française, je me suis pris d'affection pour l'ambient et la musique d'ascenseur. J'ai troqué les guitares pour des synthés, et quand les planètes sont bien alignées, j'arrive à bricoler des musiques d'ambiance à peu près potables.

Ce CV impressionnant (Tremble, Hans Zimmer!!!) m'a valu d'être recruté pour enregistrer la bande son d'un jeu vidéo mobile : "Beware The White Lies". Dans ce titre de plate-forme/réflexion développé par Tanukidev, on incarne un raton laveur qui cherche des cookies dans les ténèbres.

Je compose une OST de jeu vidéo